V2024.01

Une nouvelle version majeure de dbSQWare vient de sortir !

Cette première version de l’année a été un peu plus tardive que prévu, car elle intègre 2 grandes nouveautés :

– la possibilité d’exécuter des jobs à la demande via l’interface graphique :
–> création des jobs par les administrateurs,
–> délégation du droit d’exécution de ces jobs à certains groupes d’utilisateurs,
–> lancement des jobs par les utilisateurs autorisés,
–> suivi de l’exécution de ces jobs.

– le bornage de fin pour les exceptions :
–> possibilité de mettre une date de fin sur un paramétrage spécifique (check backups, seuils, …)

En constante évolution, dbSQWare s’adapte aux attentes de nos utilisateurs pour faciliter leur quotidien et gagner en efficacité comme en temps, sur les tâches quotidiennes d’exploitation de moteurs de bases de données.

INSTALLER dbSQWare

Unique en son genre, le logiciel dbSQWare permet à ses utilisateurs de gérer, de manière totalement homogène, l’ensemble de leurs SGBD en dépit de leur hétérogénéité.

Son installation se déroule en 4 phases essentielles :
🔎  la définition et l’étude de l’architecture en place,
💻  le paramétrage et la customisation de dbSQWare en fonction de l’environnement,
🚀  le déploiement du logiciel,
🤝  et enfin, le passage de connaissance sur son utilisation quotidienne.

Installer dbSQWare, c’est faire le choix de la fiabilité, l’agilité et la sérénité, de par une gestion et une vision globales de son parc de bases de données.

12 SGBD SUPPORTÉS

dbSQWare est un logiciel d’exploitation et de maintenance multi-SGBD qui supporte 12 types de moteurs de bases de données qui font partie des plus répandus et les plus utilisés.
Les versions prises en charge ont une étendue de 30 ans, du début des années 90 pour certains SGBD (Oracle 7, SQL Serveur 6.5) jusqu’à aujourd’hui.

dbSQWare supporte 9 SGBDR (Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles) :
 👉   Oracle, le plus populaire sur UNIX/Linux
 👉   SQLServer, développé par Microsoft et majoritairement déployé sur Windows
 👉   Teradata, un SGBDR historique aux capacités de stockage colossal
 👉   Sybase, racheté par SAP et ancien leader du marché
 👉   DB2 LUW, la version système distribué du moteur Mainframe
 👉   Ingres, datant des années 80 et en Open Source depuis 2004
 👉   MySQL,le SGBDR Open Source le plus populaire
 👉   MariaDB, un fork de MySQL
 👉   PostgreSQL, le SGBDR Open Source le plus évolué

et 3 NoSQL :
 👉   Cassandra et son organisation orientée colonnes
 👉   MongoDB, le plus populaire des NoSQL, avec une organisation orientée documents
 👉   Adabas version Linux, accessible par le language natural.

Malgré la diversité de ces moteurs de bases de données et leur hétérogénéité, dbSQWare permet d’avoir une approche commune via une exploitation centralisée et homogène.

V2023.01

La nouvelle version V2023.01 de dbSQWare vient de sortir !

Cette première version de l’année intègre plusieurs grandes nouveautés, comme :

– l’ajout de la commande « tee » et la suppression de la commande « tail » au niveau de la gestion des logs, dans tous les scripts,
(les scripts personnalisés en place vont devoir être adaptés)
– la gestion d’un fichier de verrouillage pour SQL Server, dans le but d’éviter d’avoir deux sauvegardes de même type en même temps sur la même database,
– l’utilisation de pigz (s’il est installé) à la place de gzip pour les backuups archives, les PITR et les dumps dans PostgreSQL.

En constante évolution, dbSQWare s’adapte aux demandes de nos utilisateurs pour faciliter leur quotidien et gagner en efficacité comme en temps, sur les tâches quotidiennes d’exploitation de moteurs de bases de données.

SGBD : Update Statistics

Une statistique (sur une table, une colonne / un ensemble de colonnes ou sur un index) donne des informations sur :
– la table (nombre de lignes, taille moyenne d’une ligne, nombre de blocs/page, densité),
– la répartition des valeurs pour la ou les colonnes (nombre de valeurs distinctes, nombre de doublons, existence de valeurs nulles, histogramme de répartition des valeurs),
– la constitution de l’index (profondeur, nombre de blocs, cluster ratio).

Ces statistiques sont utilisées par l’optimiseur de bases de données pour étudier les différents plans d’exécution utilisables pour une requête.
L’optimiseur (basé sur les coûts / CBO) choisit le meilleur plan d’exécution (le moins coûteux) à partir des données calculées depuis ces statistiques sur, notamment, le nombre de lignes et de blocs de données à brasser à chacune des étapes de ces plans (stratégies d’accès).

Les statistiques sont indispensables au bon calcul des plans d’exécution des requêtes. Il est donc primordial qu’elles soient à jour pour prendre en compte les changements sur les datas et donc sur les indexes, colonnes et tables.
Grâce à l’update statistics (mise à jour des statistiques), l’optimiseur dispose de données fiables pour choisir le plan d’exécution le plus performant pour servir les données aux applications.

SGBD : Réorganisation

Une base de données optimisée permet d’améliorer les performances des requêtes, de diminuer les temps de traitement et de réduire la consommation de ressources (CPU, RAM, Stockage, …). C’est pourquoi il est essentiel de maintenir une organisation performante des bases de données.

D’où la nécessité de la réorganisation lorsque ce n’est pas le cas.
Cette tâche consiste à réorganiser physiquement les index et/ou les tables dans le but d’optimiser l’utilisation de l’espace disque et d’améliorer l’accès aux données (par leur organisation), en récupérant l’espace disque inutilisé, laissé par les enregistrements supprimés et/ou par des mises à jour de données.

L’opération à mener dépend du degré de dispersion des informations de l’index (ou de la table) dans la base de données (appelé fragmentation) :
– une compaction (REORGANIZE ou COMPACT) est souvent nécessaire pour une fragmentation entre 10 et 30%
– au-delà, il faut procéder à une reconstruction (REBUILD).
Un « effet de bord » du rebuild sur une table est le rebuild de tous ses indexes.

Dans tous les cas, une base de données performante est une base de données suivie et maintenue.

V2022.04

La version 2022.04 de dbSQWare vient de sortir !

Cette dernière version intègre plusieurs grandes nouveautés attendues par nos utilisateurs :
– la possibilité de gérer les instances du référentiel par API :
         –> en consultation, création et mise à jour
– la capacité de générer des indicateurs, par API, au niveau :
         –> des backups et du stockage.
La gestion des indicateurs pour la partie Job est en cours de finalisation et sera disponible dans le prochain patch.

En constante évolution, dbSQWare s’adapte aux demandes de nos utilisateurs pour faciliter leur quotidien et gagner en efficacité comme en temps, sur les tâches quotidiennes d’exploitation de moteurs de bases de données.

V2022.03

La version 2022.03 de dbSQWare vient de sortir !

Avec une nouveauté qui devrait plaire à nos utilisateurs :
– la possibilité de déléguer l’authentification, pour se connecter au logiciel, à une application extérieure, style AD.

Sans oublier que dbSQWare est le seul logiciel de gestion et de maintenance des SGBD, capable de gérer de façon homogène, 12 types de moteurs de bases de données.

SGBD : Copie d’environnement

– « La copie d’environnement, à quoi ça sert ? »

La copie d’environnement permet de dupliquer un environnement et de disposer ainsi de 2 environnements identiques (même structure, mêmes tables, mêmes données) sur 2 serveurs différents.

L’intérêt, c’est d’avoir, par exemple, un environnement de développement identique à celui de la production (dans le cas où l’environnement de prod est copié en dev) et de fournir, aux développeurs, une base de travail fiable et à jour avant qu’ils commencent à coder (Attention, il peut être nécessaire d’anonymiser les données !).
Dans d’autres cas, la copie d’environnement peut permettre de mettre en production un environnement de test, si celui-ci a passé avec succès toutes les étapes de validation ou de monter un environnement de DRP (Disaster Recovery Plan / Plan de reprise après sinistre) à J-1.

Enfin, si la duplication se fait au travers des backups, cela permet de valider leur viabilité.

SGBD : Restauration

– « Restaurer une base de données, ça consiste en quoi ? »

Pour pouvoir faire la restauration d’une base de données, il faut déjà en avoir fait une sauvegarde (de type full, incremental, log, à chaud ou à froid).
Ensuite, restaurer consiste à récupérer les fichiers sauvegardés qui constituent la base de données.

Une stratégie de sauvegarde et de restauration bien planifiée permet de protéger les bases de données contre la perte de données.
Il est donc essentiel de vérifier régulièrement sa stratégie, en restaurant un ensemble de sauvegardes pour récupérer sa base de données.